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Démarches administratives du Sénégal
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Plus de 500 millions FCFA de l’UE pour la lutte contre le changement climatique à Bouaké - AKODY NEWS
Cofinancé à hauteur de plus 500 millions FCFA par l’Union Européenne (80%) et la mairie de Bouaké (20%), le projet Bouaké Ville verte-Coopération décentralisée (BOVIVE-CD) a été officiellement lancé, mardi, en vue de consolider les acquis de cette deuxième agglomération pour en faire d’ici 2019 un membre leader et actif d’un réseau d’échanges réciproques de villes sur la lutte contre le changement climatique - AKODY NEWS
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BOVIVE - Mission d'étude d'orientation de la politique énergie et climat de la Ville de Bouaké
BOVIVE - Mission d'étude d'orientation de la politique énergie et climat de la Ville de Bouaké, Nitidæ
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Vers une mobilité urbaine durable - Initiatives Climat
La population de la ville de Sfax était estimée en 2015 à environ 600.000 habitants. En 2030, elle devrait être comprise entre 720.000 et 810.000 habitants, soit un taux d’accroissement annuel de 1,1% à 2%. En moyenne, en 2015, chaque habitant réalisait 2,22 déplacements par jour, dont 1,64 déplacement motorisé. La circulation et le stationnement deviennent difficiles, notamment dans le centre-ville. Les raisons en sont multiples. La plupart des activités de services et de commerce sont concentrés dans le centre-ville. Le transport collectif et celui des deux roues se dégradent, au profit de l’utilisation de la voiture particulière. Ainsi, la part des voitures particulières est-elle passée de 13% en 1984 à 28% en 2012 puis à 35% en 2015. Quant à celle des transports publics, elle est passée de 29% en 1984 à 13% en 2012, puis à 11% d'ici 2035. De plus, la ville de Sfax est très impliquée dans les actions de maîtrise de l’énergie. Elle a établi un bilan carbone en coopération avec la GIZ en 2012. Le résultat fait ressortir que le secteur du transport dans la ville est le plus émetteur de GES ; il représente ainsi 54% de la totalité des émissions dont 42% sont dues au transport de marchandises et 12% au déplacement des personnes. Parmi les recommandations de la ville de Sfax, on note la mise en place d’une stratégie de mobilité urbaine à travers l’établissement d’un Plan de Déplacement Urbain (PDU) ainsi qu’une NAMA « Nationally Appropriate Mitigation Action » dans le secteur du transport. Ainsi sont pris en compte les problèmes de circulation, de stationnement, les impacts énergétiques et environnementaux grâce à une action locale appropriée de réduction des gaz à effet de serre, dans le but de mettre en place une stratégie de mobilité urbaine durable. Il s’agit d’un projet innovant en Tunisie, et même en Afrique. Le plan d’atténuation des GES a été élaboré dans le cadre de l’approche ASI/ERA il y a un large éventail d'options disponibles pour réduire les émissions de GES du secteur des transports urbains: - "Avoid" (Eviter) se réfère à la réduction du nombre de déplacements ou des distances de déplacement, ce qui contribue à réduire les émissions de GES par le biais d'un niveau d'activité moindre. - "Shift" (Reporter) se réfère au remplacement d'un mode de transport à haute émission de GES par un mode de transport à faible émission. - "Improve" (Améliorer) renvoie à la réduction des émissions de GES par unité de production, à savoir l'augmentation de l'efficacité du mode de transport. Un plan d’actions du PDU/NAMA (Plan de Déplacement Urbain/Nationally Appropriate Mitigation Action) Transport a été établi en se basant sur plusieurs thèmes : l’optimisation du fonctionnement du réseau routier, la gestion du stationnement (pour maîtriser la pression automobile), le développement d’un réseau de transport collectif performant, le développement de l’inter-modalité en garantissant la connexion entre les différents modes de transports, l’amélioration des conditions de circulation pour les vélos et l’amélioration des conditions de déplacement pour les piétons. Dans le cadre de la mise en place du Plan d’Actions du PDU/NAMA Transport, une société a été créée pour la mise en place d’un réseau de transport collectif en site propre et réseau Bus à Haut Niveau de Service. Une étude a été engagée pour améliorer la gestion du stationnement. L’initiative a été menée en impliquant tous les acteurs concernés par la mobilité urbaine : une enquête a été réalisée sur le transport et la circulation. Elle a comporté trois phases : un état des lieux, un diagnostic et des projections de scénarios.
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Ville verte et attrayante - Initiatives Climat
La ville comprend six bassins versants intérieurs : le premier sur la partie aval vers l’émissaire principal ceinturant la ville du côté est, le deuxième et le troisième sur le quartier du centre-ville, le quatrième au sud (zones périphériques et zone d’extension), le cinquième et le dernier assurent la fermeture nord et nord-est, également zone périphérique et zone d’extension. Cette configuration est propice à une érosion des sols si le couvert végétal est détruit. Avec sa superficie de 138,69 km², la CUF dispose d’une vaste étendue qui ceinture son périmètre urbain. Fianarantsoa est une grande ville qui dispose encore de réserves en crédit carbone. Mais par insuffisance de suivi-contrôle au cours des mandats municipaux qui se sont succédé, des mauvaises pratiques se sont développées : défrichement sauvage, activités agricoles illicites, feux de brousse. Dès la prise de fonction en octobre 2015 de la nouvelle maire élue, la restauration du patrimoine naturel a fait partie des priorités de la commune. Il en est de même pour la dégradation des aires de jeux et celle des espaces publics. Or, la ville de Fianarantsoa était jadis réputée pour sa verdure et son climat doux. L’objectif général de l’initiative est de reconstituer un couvert forestier en vue d’atténuer les effets des changements climatiques. Il se décline en plusieurs objectifs spécifiques : - mobiliser l’équipe municipale pour réaliser des actions de reboisement pour la restauration du patrimoine forestier et la préservation de l’environnement ; - concrétiser des partenariats en vue de réhabiliter ou de créer des espaces verts publics en ville pour préserver la biodiversité de la ville ; - engager une campagne de sensibilisation citoyenne et de conscientisation en faveur de la préservation de l’environnement urbain sur les concepts liées aux fléaux climatiques. Les bénéficiaires sont à la fois : les habitants de Fianarantsoa, les touristes réguliers et de passage, la société d’Etat Jirama qui fournit l’eau et l’électricité, ainsi que les paysans qui résident dans les zones périphériques. Il s’est agi tout d’abord d’informer, d’éduquer et de communiquer sur la situation et les dangers qui pourraient survenir si rien n’est fait. Les publics cibles sont à la fois les employés municipaux et les habitants. Différents moyens sont utilisés : émissions radiophoniques et télévisées, interventions lors d’événements locaux et nationaux (Sixteen Days, 8 mars…), ateliers sur des thèmes liés à l’environnement. Cette première phase s’est poursuivie par des actions de reboisement avec les employés communaux et par des travaux d’aménagement de plantations d’arbres fruitiers et d’ornement par des femmes de la commune. De plus, un espace vert a été aménagé à l’Université et le site « Points de vue » a été réhabilité avec la collaboration d’étudiants de l’Ecole nationale des Mines d’Alès (France). Un autre espace public, qui comprend une aire de jeux pour les enfants, a été réaménagé et reboisé. Cette action a permis de stopper la perte de la biodiversité de la zone. Le service régional de l’Environnement et des Forêts a apporté un appui technique pour les projets en lien avec la reforestation. Une procédure de contrôle et de suivi des actions initiées a été mise en place.
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Ville écologique pilote - Initiatives Climat
Le Tchad compte environ 15 millions d’habitants ; il est indépendant depuis 1960. Sa population comprend en grande partie des femmes et des jeunes, à majorité pauvre. L’accès aux services sociaux de base est limité. Son économie est basée sur l’agriculture, l’élevage, la pêche et l’exploitation du pétrole. 70% de la population vit de l’agriculture. Sa position géographique et les conditions bioécologiques font de lui un pays sahélien. La sécheresse des années 1970, les récentes perturbations climatiques, la croissance démographique (3,6%), l’intensification de l’agriculture, l’élevage et la pêche ainsi que l’exploitation des ressources naturelles (pétrole) et l’urbanisation, exposent ce pays, déjà fragilisé, aux effets des changements climatiques. C’est pourquoi, le gouvernement et ses partenaires luttent contre les changements climatiques par les actions d’adaptation et d’atténuation et soutiennent des démarches de développement durable. Un plan de développement national de lutte contre les changements climatiques a été élaboré. C’est dans ce contexte que Koumra a élaboré son plan de développement communal. Les questions liées à l’environnement y occupent une place stratégique ; 15% de la commune est affecté à cette préoccupation. La commune est présente à toutes les manifestations et rencontres liées à l’environnement. Les objectifs visés sont multiples : - construire une ville compacte par l’entretien et la plantation intense d’arbres et encourager le développement de l’agriculture urbaine ; - gérer rationnellement les ressources naturelles de la commune en créant un réseau d’espaces verts ; - lutter contre les brûlures des objets dangereux à l’homme et l’utilisation des matières plastiques ; - sensibiliser les populations à l’utilisation du transport public et aux modes de déplacement doux afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre et contribuer à la santé publique. Les bénéficiaires directs des projets sont les employés de la commune, les différentes populations des quartiers et, plus largement, toutes les populations de Koumra et des alentours. Comme cela a été suggérée par une étude de faisabilité, l’approche participative a été retenue ; elle prend en compte l’opinion des populations (bénéficiaires), des techniciens de la commune et des partenaires du projet. Un ensemble d’activités ont été menées. - Sensibilisation de proximité sous la forme de conférences, causeries-débats, jeux concours, projections de films aux populations. - Education environnementale auprès des jeunes et des femmes. Ces acticités ont été assurées par des animateurs, habitants des zones du projet. - Sensibilisation par la Radio locale, FM TOB qui diffusait des messages de protection et de sauvegarde de l’environnement en relation avec l’atténuation et l’adaptation aux effets des changements climatiques, cela en langues nationale et locales. - Entretien et reboisement de plantes et leur suivi régulier par l’arrosage et le traitement contre les insectes nuisibles notamment. - Renforcement des capacités des membres du projet, surtout ceux en charge de la gestion des espaces verts, élément important de pérennisation du projet.
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Renforcement des capacités et de plaidoyer environnemental - Initiatives Climat
Les aléas climatiques (sécheresses, inondations, cyclones, températures extrêmes, etc.) ont des répercussions considérables sur le développement socioéconomique. Au Sénégal, le changement climatique est une menace déjà réelle ; plusieurs faits peuvent l’illustrer : baisse de la pluviométrie d’environ 300 mm en 30 ans, pluies plus intenses et de plus courtes durées, augmentation de la température d’environ 1,7 °C en 30 ans. Les impacts négatifs sont également multiples : avancée de la mer, érosion côtière, désertification, réduction des mangroves, perte de terres arables et de pâturages, réduction de la disponibilité de l’eau pour l’irrigation, la boisson et autres activités productives. Les objectifs de l’initiative sont de trois ordres : promouvoir une meilleure connaissance des enjeux liés aux changements climatiques et à la préservation de la biodiversité, développer une nouvelle conscience des problèmes environnementaux par un engagement des mouvements associatif et communautaire et renforcer les capacités en techniques de plaidoyer environnemental. Il s’agira à long terme de développer chez les acteurs locaux, notamment les populations à la base et les élus locaux, une conscience environnementale pour la gestion durable des écosystèmes dans le département de Linguère. Il s’agit aussi d’éduquer à l’environnement pour faire partager les valeurs «éco responsables» du développement durable. Le but est d’avoir une masse critique d’acteurs pour mener un plaidoyer et agir dans le sens de l’amélioration des conditions environnementales et sociales. Le changement climatique notamment dans ses aspects environnementaux et écologiques, la dégradation de la biodiversité, la problématique des ordures ménagères à travers les déchets plastiques et leurs effets néfastes sur le sol et pour les animaux d’élevage ainsi que la Grande Muraille Verte (GMV) sont des thèmes de plaidoyer et de veille écologiques. Le plaidoyer devrait permettre de prendre en compte les questions d’environnement dans les stratégies de développement local (cadre de vie, agriculture, élevage, gestion des ressources naturelles). Un ensemble d’activités sont conduites. Il s’est agi tout d’abord d’organiser des formations sur les changements climatiques, la désertification et la préservation de la biodiversité. Cela comprend notamment la connaissance des points clés des conventions des Nations unies sur l’Environnement et les textes en rapport avec la décentralisation. L’accent a été mis sur les enjeux liés aux changements climatiques. Quatre séminaires et ateliers ont été organisés. Ensuite un programme d’éducation environnementale a été réalisé au bénéfice des scolaires et des membres des associations. L’enseignement a pris en compte dans les apprentissages les bonnes pratiques en rapport avec la préservation de l’environnement. Un plaidoyer environnemental a été conduit. Il a pris la forme de campagnes de communication et de sensibilisation de masse ainsi que de mobilisations sociales (activités à l’occasion de la journée internationale de l’environnement par exemple) Un forum départemental sur la Grande Muraille Verte (GMV) a été organisé. Enfin, des visites et des échanges ont permis de découvrir un ensemble de projets.
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Constructions en terre comprimée et stabilisée - Initiatives Climat
De nos jours, notre monde fait face à plusieurs menaces planétaires notamment: la dégradation de l’environnement, l’émission de gaz à effet de serre qui perturbe le cycle climatique naturel et la destruction de la couche d’ozone. Dans le secteur du bâtiment, il est constaté l’élévation des températures intérieures ainsi que la dégradation des constructions, notamment les fissures dans les murs. Il est nécessaire d’apporter des solutions pour stopper ces phénomènes L’initiative consiste en la construction d'habitats écologiques (moins d'émission de CO2), économiques (consommation réduite de fer, ciment, gravier et peinture), confortables (bonne régulation thermique et bonne isolation phonique) et durables (résistante, pas de fissures dans les murs, durée de vie au-delà de 120 ans). Les blocs de terre comprimée et stabilisée (BTCS) sont faits avec un matériau abondant qui nécessite moins d'énergie pour sa fabrication comparée à la chaux, aux briques cuites ou au ciment. L’objectif est de réaliser des bâtiments des villes d’Afrique en général et celle de la Côte d’Ivoire en particulier avec le système BTCS. Il s’agit à la fois de construire de nouveaux bâtiments et de réhabiliter ceux déjà existants. Dans cette optique, les prix de revient sont minutieusement étudiés pour de rendre les bâtiments accessibles à toutes les couches sociales. Il est important de permettre à toutes les collectivités territoriales ainsi qu’aux particuliers de choisir de construire selon le système BTCS. Les bénéficiaires sont donc divers : partenaires sociaux, notamment l’Assemblée des Régions et Districts de Côte d’Ivoire (ARDCI), les mairies, les régions dont celle de la NAWA, l’Union Nationale des Fonctionnaires de Côte d’Ivoire (UNAFOCI) et des particuliers. Le partenaire privilégié en matière d’appui technique en environnement est le Réseau Ivoirien des professionnels de l’Hygiène-Sécurité-Environnement (RIHSE), qui est un organisme composé d’experts qui œuvrent pour la gestion et la promotion de l’environnement. La technologie de bloc de terre ciment-comprimé consiste à comprimer de la terre mélangé à du ciment en un bloc de terre-ciment (5 à 8% de ciment et 92 à 95% de terre latéritique). Ces blocs sont montés à sec ; la forme de ceux-ci permet l'auto-blocage. Plusieurs machines sont employées : broyeurs, tamis mécaniques, malaxeurs plats; pondeuses, machines de fabrication de blocs statiques, de briques et bétonneuses. Les BTCS présentent plusieurs avantages : bonne isolation thermique, bonne isolation phonique, imperméabilité, confort intérieur, emploi d’un matériau naturel (latérite), régulation de la température intérieure notamment, délais de construction plus courts. Les blocs absorbent les rayons ultraviolets qui produisent de la chaleur et régulent la température. L’utilisation de la latérite dans la production des blocs est sans émission nocives. D’autres aspects sont aussi à prendre en compte : mise en valeur de ressources naturelles abondantes dans le pays, formation de jeunes déscolarisés (en particulier des femmes) aux métiers de producteurs et de monteurs de blocs, création d’emplois pour des jeunes recrutés sur place. Les constructions avec les blocs sont aussi moins chères que les constructions en ciment. Plusieurs constructions ont été faites à Mayo avec les BTCS : écoles primaires et maternelles et l’hôpital général de Mayo. Cela à un coût relativement réduit et supportable par le budget de la commune.
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Pikala, le vélo comme moyen de mobilité douce - Initiatives Climat
A l’aube de la COP22 qui se déroulera à Marrakech en novembre prochain, l’enjeu écologique des transports doit être pris en compte. La consommation des énergies fossiles n’est pas la seule problématique, mais le confort sonore, la qualité de l’air, la fluidité du trafic sont autant d’enjeux qui nous concernent tous. A l’heure où le tourisme traverse de véritables difficultés, contribuer à une ville plus verte, plus agréable, plus accueillante est un véritable défi. Pikala est un projet pour encourager l’usage du vélo à Marrakech. Pikala c’est aussi une clef vers une éducation citoyenne, l’emploi prometteur, la mobilité durable, la santé, l’amélioration de notre environnement. Actuellement, le vélo à Marrakech est réduit à un simple moyen de transport à la portée des pauvres. Il faut changer cela et montrer que le vélo peut-être aussi un choix, un plaisir. La capitale de la Hollande, Amsterdam, a pris l’initiative de faire don de vélos d’occasion. Pikala a créé un atelier où ces vélos sont réparés, entretenus, et même relookés ; l’atelier est la partie éducative de ce projet. Les jeunes sont formés par des réparateurs professionnels d’Argan Xtreme Sports et assistés par des élèves de l’école artisanale CFQMAM ; avec ces derniers ils exploreront les savoir-faire de l’artisanat marocain pour produire une offre de qualité, mais aussi originale et branchée… L’espoir est que de véritables artistes se révèlent. Pikala dispose actuellement de 200 vélos. Nous avons signé un partenariat avec la ville de la Haye aux Pays-Bas pour lui permettre de recevoir 1000 vélos chaque année. Lors des manifestations culturelles et touristiques, sur la place Jemaâ el fna, Pikala propose de louer des vélos pour aller découvrir les différentes expositions. C’est non seulement un bon moyen pour les visiteurs de découvrir la ville et les expositions, mais c’est aussi l’occasion de soutenir cette initiative écologique à Marrakech Pikala travaille actuellement à la mise en place d'un système de vélos en libre-service pour la ville de Marrakech, en partenariat avec le Département de l'environnement qui verra le jour à la COP22. Elle travaille aussi sur la création d'un système de location de vélos pour les étudiants de l'université Cadi Ayyad de Marrakech pour l'année universitaire prochaine. Pikala va aussi organiser des événements sur le thème de la santé et de l’écologie pour populariser son action. Il s’agit de faire disparaître les préjugés peu favorables au vélo. Il faut montrer qu'il peut être un produit "branché", attractif et tout simplement… pratique. Il faut montrer les succès de l’intégration du vélo dans certaines grandes métropoles comme Berlin, Paris, Séville et Barcelone.
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